Biographie des conférenciers

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Speaker

Sessions

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Andrew.jpgLe révérend Andrew Wesley est un aîné en résidence à la First Nations House de l’Université de Toronto. Il est également un prêtre anglican et ancien président du conseil anglican des peuples autochtones, titulaire d’une maîtrise en théologie de l’Université de Toronto, en plus d’être formé en tant que technicien en génie civil. Andrew est un Cree de Mushkegouk / Omushkego de la Baie James et il est un aîné reconnu de l’Université de Toronto depuis plusieurs années. Il siège actuellement au Cercle des aînés du Conseil des initiatives autochtones de l’Université de Toronto. Il rencontre des étudiants, donne des conférences sur le campus et donne des enseignements à la Maison des Premières nations. En dehors de son travail à l’université, il est également conseiller en pastorale pour le centre d’amitié Fire et un survivant d’un pensionnat. Andrew est très respecté sur tout le campus et en Ontario.

28 mars, de 18 h à 18 h 25 : Reconnaissance des terres autochtones

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Noemi-Torrez.jpgNoemi Torrez V-G. Le travail social m’a toujours attiré. J’aime savoir que nous pouvons, par nos actions, améliorer le bien-être des gens. De plus, ayant eu la chance d’avoir une famille stable, la santé et une vocation évidente, j’ai ressenti une certaine responsabilité d’aider les autres. C’est ainsi que j’ai commencé, dès l’âge de 16 ans, à travailler dans beaucoup d’activités sociales de mon église, mais l’activité qui m’avait attiré le plus était le counseling : écouter des personnes expliquer leurs problèmes ou situations difficiles, et tenter de trouver une solution au mieux de mes capacités. Après l’obtention de mon diplôme collégial, je me suis inscrite en administration des affaires à l’Université de Valle. Durant et après mes études universitaires, j’ai continué à faire du counseling, et c’est ce qui m’intéressait le plus, même si je me voyais pourtant très bien en administration des affaires aussi. Durant les années suivantes, à mesure que le counseling occupait de plus en plus mon temps (toujours fait comme bénévolat), je me suis rendu compte que j’avais besoin de trouver une façon de combiner ma vocation en service communautaire à une source de revenus stable. Je me suis inscrite à l’Université de Palerme, à Buenos Aires, pour obtenir une maîtrise en administration des affaires en ressources humaines, avec une spécialisation en accompagnement. Au collège, l’accompagnement que j’ai appris portait surtout sur une approche professionnelle. En gros, on m’a enseigné à dire non. À l’église, je disais à tout le monde que je pouvais aider, et j’offrais mon temps gratuitement. À l’université, j’ai appris les outils requis pour traiter les situations avec discipline, établir les priorités, et définir les délais et les limites. Après avoir obtenu mon diplôme, je suis retournée en Bolivie pour appliquer ce que j’avais étudié.

 

28 mars, de 18 h 30 à 19 h : INTI Pharmaceuticals SA Cares About Domestic Violence: Here’s What We Are Doing (À INTI Pharmaceuticals SA, nous prenons la violence familiale très au sérieux : voici ce que nous faisons)

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29 mars, de 13 h à 13 h 50 : Violence against Women and its Economic and Social Impact on Private Enterprise (La violence envers les femmes et ses répercussions économiques et sociales sur les entreprises privées)

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Nadege-LHARAIG.jpgNadege Lhariaig est gestionnaire de projet en matière d’égalité des genres et de diversité à la Fondation FACE. Après avoir obtenu son diplôme de l’Institut d’études politiques de Grenoble et de la Sorbonne Business School, elle travaille dans les domaines de la responsabilité sociale des entreprises, de l’égalité des genres et de la violence sexiste au sein d’entreprises et de fondations privées depuis les six dernières années. Elle appuie des entreprises privées et des organismes publics dans leur mise en œuvre de mesures internes et externes, y compris : Kering, L’Oréal, Carrefour, BNP Paribas, Korian, la Ville de Paris, INRA, FDJ, SNCF. Engagée personnellement à lutter contre la violence à l’égard des femmes, elle agit comme Secrétaire générale d’En avant toute(s), une ONG qui soutient les jeunes femmes victimes de violence conjugale. Elle a été conférencière à l’occasion de colloques sur la violence sexiste pour BNP Paribas, Carrefour, CSR Europe, UNI Global Union et l’Organisation internationale du Travail.

March 28, 7:00 – 7:30 pm: European Update: Involving Companies to Cease Domestic Violence (Le point sur l’Europe : Impliquer les entreprises pour mettre fin à la violence conjugale) (Français)

March 29, 1:00 – 1:50 pm: x Company: Our effort to Address Domestic Violence in the Workplace

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Jane-Pillinger.jpgDr Jane Pillinger travaille en tant que professionnelle indépendante spécialiste en rapports de genre, chercheuse et conseillère politique sur la violence sexiste au travail. Elle travaille avec les employeurs, les gouvernements, les syndicats et les organismes internationaux pour élaborer des politiques visant à prévenir la violence et le harcèlement au travail, y compris les répercussions de la violence familiale et le mauvais traitement. Elle a écrit plusieurs livres et politiques importantes, notamment un manuel, publié en mars 2019, destiné à l’Entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes et à l’Organisation mondiale du Travail au sujet de la prévention de la violence et du harcèlement envers les femmes au travail. Elle a étudié en politique sociale et est une ancienne conseillère spécialisée pour le gouvernement du Royaume-Uni. Elle occupe actuellement le poste de principale professeure invitée au programme d’études de la condition féminine à la London School of Economics, et de principale chercheuse invitée en politique sociale à l’université ouverte du Royaume-Uni. 

28 mars, de 19 h 30 à 20 h : Putting Domestic Violence at Work on the Agenda: The United Nations and the International Labour Organization (Mettre au programme la violence familiale au travail : les Nations Unies et l’Organisation internationale du Travail)

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hilary.jpgHilary Flett, Director of Harassment and Violence Prevention, Labour Program, has been in the Federal Public Service (FPS) for 15 years working at Department of National Defence, Veterans Affairs, Health Canada and now Employment and Social Development Canada. In her roles, she has been responsible for partnerships between the Canadian Forces Health Services Group and the broader health care community, oversaw the Public Service Occupational Health Program, and was a member of the Joint Mental Health Committee tasked to provide recommendation for how the FPS could align with the National Standard for Psychological Health and Safety. Presently she is overseeing the drafting of new Work Place Harassment and Violence Regulations that will support the changes to the Canada Labour Code. Prior to entering the public service Hilary practiced as an occupational therapist and educator in colleges and universities in Canada.

28 mars, de 9 h à 9 h 15 : New Regulatory Framework to Address Harassment and Violence

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Peter-Jaffe.jpgDr. Peter Jaffe est psychologue et professeur à la faculté de l’éducation à l’université Western, et il est directeur scolaire au Centre de recherche et d’éducation sur la violence contre les femmes et les enfants. Il a collaboré à 10 livres, 29 chapitres et plus de 80 articles sur la violence familiale, les répercussions de la violence familiale sur les enfants, la prévention d’homicide et le rôle des systèmes de justice pénale et familiale. Depuis 1999, il œuvre au National Council of Juvenile & Family Court Judge aux États-Unis dans le cadre de programmes d’éducation judiciaire nommés « Enhancing Judicial Skills in Domestic Violence Cases » (traduction libre : amélioration des compétences judiciaires dans les cas de violence familiale). Il est membre fondateur du Comité d’examen des décès dus à la violence familiale du Bureau du coroner en chef, en Ontario. Il a aussi joué un rôle important dans l’élaboration de programmes de prévention de la violence dans les écoles, et assumé le rôle d’administrateur au conseil scolaire du district de la vallée Thames de 1980 à 2019. En 2009, la gouverneure générale l’a nommé Officier de l’Ordre du Canada pour son travail en prévention de la violence familiale dans la communauté. 

29 mars, de 9 h à 10 h 30 : From Research to Action: Working with Business & Labour (De la recherche aux interventions : travailler avec les entreprises et la main-d’œuvre)

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Derrick-Hynes.jpgDerrick Hynes est actuellement le président et chef de la direction à l’Association des Employeurs des transports et communications de régie fédérale (ETCOF), où il gère les activités quotidiennes de cette association. Les entreprises d’ETCOF emploient près de 500 000 travailleurs canadiens. Derrick Hynes compte près de 25 d’expérience dans le secteur privé et public. Ses recherches, ses écrits et ses compétences d’animation font de lui un communicateur hors pair. Il a travaillé pour le Conference Board of Canada, NAV CANADA et le gouvernement du Yukon. Il a obtenu son baccalauréat en science politique à l’université Memorial, et sa maîtrise en administration publique à l’université Queen’s. Il est marié à Jacqueline depuis 20 ans et l’heureux père d’Adam et de Leah. Durant ses temps libres, Derrick Hynes fait du vélo, du ski de fond et joue au hockey. Il est aussi entraîneur de la ligue locale de hockey midget dans la Canterbury Minor Hockey Association.

29 mars, de 9 h à 10 h 30 : From Research to Action: Working with Business & Labour (De la recherche aux interventions : travailler avec les entreprises et la main-d’œuvre)

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hassansquare.jpgHassan Yussuff a été réélu pour un second mandat comme président du Congrès du travail du Canada en mai 2017. Il a été élu pour la première fois à ce poste en mai 2014, devenant ainsi la première personne de couleur à diriger un mouvement syndical au Canada. Depuis son élection en 2014, Hassan a permis aux syndicats du Canada de remporter d’importantes victoires. C’est notamment sous sa gouverne que le CTC a lancé une campagne communautaire et numérique novatrice et sans précédent qui a mis les problèmes liés au travail au premier plan à l’occasion de l’élection fédérale de 2015, campagne qui a contribué à la défaite des conservateurs.

L’appel à bonifier le Régime de pensions du Canada, une lutte que menait Hassan avec passion depuis près de dix ans, était au cœur de la campagne du CTC lors de l’élection fédérale. Après l’élection, le CTC a redoublé ses efforts sur la question de la sécurité de la retraite, alors que Hassan s’employait à obtenir l’appui du nouveau gouvernement fédéral et des dirigeants provinciaux et territoriaux. Cette campagne et ce travail de lobbyisme ont mené à une victoire en novembre 2016 avec le dépôt du projet de loi C-26, une législation qui a élargi le RPC pour la première fois de son histoire.

Une autre priorité importante pour Hassan est de rendre les lieux de travail et les espaces publics plus sûrs. En début de carrière comme mécanicien, Hassan a été exposé à de l’amiante, et comme syndicaliste, il a appris que les maladies associées à l’amiante sont la première cause de décès liés au travail au Canada. En sa qualité de président du CTC, Hassan a mené une vive campagne pour que l’amiante soit complètement interdit; et cette interdiction a été remportée en décembre 2016.

En plus de son travail au Canada, Hassan est un éminent activiste international. En 2016, il a été élu pour un second mandat en tant que président de la Confédération des syndicats des Amériques (CSA), un organisme regroupant 56 organismes nationaux représentant plus de 60 millions de travailleurs dans 23 pays.

Fort de sa volonté de bâtir un meilleur monde pour les générations futures, Hassan est déterminé à lutter contre les changements climatiques et à s’assurer qu’il y ait une transition juste et équitable pour les travailleurs et collectivités touchés par l’évolution de l’économie verte.

29 mars, de 9 h à 10 h 30 : From Research to Action: Working with Business & Labour (De la recherche aux interventions : travailler avec les entreprises et la main-d’œuvre)

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Marylin-Kanee.jpgMarylin Kanee, M.  Serv. Soc, travaille dans le domaine des droits de la personne en milieu de travail depuis plus de 20 ans. Elle a une grande expérience dans l’éducation à ce sujet et dans le traitement des problèmes liés au harcèlement, à la discrimination et à la violence, y compris la violence familiale, dans le milieu des soins de santé et de l’éducation postsecondaire. Récemment, elle était directrice des droits de la personne et de l’équité en matière de santé au système de santé Sinaï de Toronto, et elle assume actuellement le rôle de conseillère et de formatrice sur les droits de la personne et l’équité en matière de santé. 

29 mars, de 10 h 50 à 11 h 50 : See It, Name It, Check It: Responding to Domestic Violence at Work (Le voir, le nommer, le vérifier : réagir à la violence familiale au travail)

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(indisponible)

Margaret-MacPherson.jpgMargaret MacPherson travaille en tant que fonctionnaire indépendante depuis qu’elle a quitté la fonction publique en 2009. Elle contribue et dirige des initiatives visant à éliminer la violence et des projets de changements sociaux depuis plus de trente ans. Elle organise la Southwest Region Violence Against Women Coordinating Table (SWRCC) et le réseau Building A Bigger Wave Ontario pour les comités de coordination VAW. Margaret MacPherson travaille étroitement avec le CREVAWC sur différentes initiatives, notamment le programme contre la violence familiale en milieu de travail Make It Our Business et l’adaptation de Neighbours, Friends and Families (NFF) en tant que campagne nationale sur le mauvais traitement des adultes d’âge mûr appelée It’s Not Right! Neighbours, Friends and Families for Older Adults.

29 mars, de 10 h 50 à 11 h 50 : See It, Name It, Check It: Responding to Domestic Violence at Work (Le voir, le nommer, le vérifier : réagir à la violence familiale au travail)

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(indisponible)

Judy-Brown.jpgJudy Brown a été nommée directrice générale des relations ministérielles Amériques, en février 2016.  Elle dirige une équipe qui élabore et gère des stratégies et des enjeux d’affaires externes pour contribuer aux objectifs commerciaux de Rio Tinto dans la région. Elle gère aussi les communications avec les institutions multilatérales et de développement financier. Avant d’occuper ce poste, elle était chef conseillère de la communication auprès des intervenants pour le groupe Rio Tinto, où elle a dirigé la mise en œuvre d’une initiative du comité de direction visant à accroître les capacités du groupe. Judy Brown a commencé sa carrière à Rio Tinto en 2000 à titre de directrice des affaires du gouvernement fédéral, à Washington. Depuis, elle a occupé des rôles de direction dans les relations ministérielles et communautaires dans le monde pour le groupe de minéraux industriels, en plus d’accroître les capacités en Amérique latine et en Asie-Pacifique. Avant de se joindre au groupe Rio Tinto, Judy Brown a travaillé à la Chambre de commerce des États-Unis et au comité sénatorial étasunien sur l’énergie et les ressources naturelles, particulièrement sur les sujets touchant les minéraux, les politiques forestières et les enjeux de terres publiques. Elle vit à Arlington, en Virginie, avec son mari et ses deux enfants. 

29 mars, de 10 h 50 à 11 h 50 : DV Workplace policy implementation: hear about the opportunities and challenges from Rio Tinto and World Bank (Mise en place de politiques contre la violence familiale au travail : présentation des possibilités et des contraintes par Rio Tinto et la Banque  mondiale)

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(indisponible)

Elizabeth-Legrain.jpgElizabeth Legrain, coordonnatrice de la prévention de la violence familiale, direction de la santé et sécurité, Banque mondiale. Elizabeth Legrain est la principale porte-parole et militante dans les enjeux de violence familiale dans son rôle de coordinatrice du programme de prévention de la violence familiale à la Banque mondiale. Ce programme offre aussi des services au Fonds monétaire international et à la Banque interaméricaine de développement. Depuis 2005, elle fait sa marque avec l’expansion et la coordination d’un programme complet de lutte contre la violence familiale reconnu aux États-Unis et dans le monde pour ses approches novatrices de traitement des cas de violence familiale en milieu de travail. Elle apporte un leadership fort, de la passion, de l’énergie et un engagement éthique pour grandement améliorer la sensibilisation sur le danger et les répercussions de la violence familiale et mobiliser les autres, en plus de donner une voix et de l’aide aux victimes de violence dans chacune des collectivités et chacun des organismes internationaux servis. Elizabeth Legrain était auparavant infirmière autorisée aux États-Unis et au Canada, et sa langue maternelle est le français. Elle a obtenu des diplômes de premier cycle en soins infirmiers et en études internationales, ainsi qu’une maîtrise en administration des affaires internationales. Elle vit à Washington avec son mari et ses deux enfants.

29 mars, de 10 h 50 à 11 h 50 : DV Workplace policy implementation: hear about the opportunities and challenges from Rio Tinto and World Bank (Mise en place de politiques contre la violence familiale au travail : présentation des possibilités et des contraintes par Rio Tinto et la Banque  mondiale)

Anglais

Français
(indisponible)

Christine-Brendel.jpgChristine Brendel a une maîtrise en pédagogie sociale et un doctorat honoris causa pour ses enquêtes sur les coûts de la violence envers les femmes. Elle compte plus de 20 ans d’expérience en établissement de coopération en Amérique latine, en Afrique, en Asie méridionale et aux États-Unis, en plus de son expérience en counseling et comme représentante de BMZ dans un contexte international. Elle est une conseillère politique chevronnée et une spécialiste des processus de changement et de développement organisationnel. Elle est aussi spécialiste des méthodes de planification, de surveillance et d’évaluation, et elle est reconnue comme une experte mondiale des droits de la femme et de l’égalité. Christine Brendel a de l’expérience en conception et exécution de processus à intervenants multiples, et en communication de haut niveau. Elle a maintes fois prouvé ses compétences en réseautage et en orientation du client.

 

29 mars, de 10 h 50 à 11 h 50 : Construire un argumentaire – Les coûts invisibles de la violence à l’égard des femmes pour les entreprises? (Building the business case - The invisible costs of violence against women for enterprises?)

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Français

29 mars, de 13 h à 13 h 50 : Violence against Women and its Economic and Social Impact on Private Enterprise (La violence envers les femmes et ses répercussions économiques et sociales sur les entreprises privées)

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Français

Sylvie-Morin.jpgSylvie Morin encadre la formation. Elle est directrice de la maison d’hébergement pour femmes victimes de violence nommée La Bouée, au lac Mégantic, depuis onze ans. Elle a contribué à la création de la trousse SOS Abus destinée aux aînés. Elle a créé un documentaire au sujet de trois personnes dont leur enfant a été tué par leur conjoint. Elle a organisé trois conférences provinciales sur la violence familiale. Elle est membre du Comité d’examen des décès dus à la violence familiale et elle participe au triple projet I WANT TO LIVE, une conférence, un livre et un disque pour empêcher toute forme de violence et augmenter la sensibilisation à ce sujet. Elle a déjà dû quitter son travail à cause de violence familiale.

29 mars, de 13 h à 13 h 50 : Le lieu de travail peut-il être sécuritaire alors que le foyer ne l’est pas? Violence conjugale et lieu de travail. (Can Work Be Safe When Home Isn’t? Domestic Violence and the Workplace.)

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(indisponible)

Français

Karine-Gosselin.jpgKarine Gosselin est une éducatrice spécialisée en formation. Depuis quinze ans, elle travaille avec des enfants ayant des difficultés d’apprentissage dans les écoles. Elle est animatrice et coordonnatrice des communications à La Bouée régionale, une maison d’hébergement pour femmes victimes de violence, depuis six ans maintenant. Elle a été conférencière au colloque du triple projet I WANT TO LIVE, une initiative de prévention et de sensibilisation au sujet de toutes les formes de violence. « Personne n’est à l’abri de la violence ou d’en être témoin, que ce soit à l’école, à la maison, au travail ou dans la rue. Il existe plusieurs formes de violence, par exemple, l’abus de pouvoir, l’intimidation, l’agression sexuelle, le mauvais traitement, la violence familiale, et évidemment le meurtre. »

29 mars, de 13 h à 13 h 50 : Can Work Be Safe When Home Isnt? Domestic Violence and the Workplace. (Le lieu de travail peut-il être sécuritaire alors que le foyer ne l’est pas? Violence conjugale et lieu de travail.)

Anglais
(indisponible)

Français

Nathalie-Lacroix.jpgNathalie Lacroix a été une femme d’affaires pendant 30 ans et a vu des collègues aux prises avec la violence familiale. Elle travaille maintenant dans une maison d’hébergement pour femmes victimes de violence familiale, et l’un de ses plus grands souhaits et de faire connaître ce problème au plus grand nombre possible de personnes dans les syndicats et les entreprises.

29 mars, de 13 h à 13 h 50 : Can Work Be Safe When Home Isnt? Domestic Violence and the Workplace. (Le lieu de travail peut-il être sécuritaire alors que le foyer ne l’est pas? Violence conjugale et lieu de travail.)

Anglais
(indisponible)

Français

Josee-Begin.jpgJosée Bégin est assistante en intervention à La Bouée, maison d’hébergement pour femmes et enfants victimes de violence familiale. Elle compte plus de 25 ans d’expérience dans ce domaine, ce qui lui permet de comprendre l’importance de la sensibilisation sur le sujet et d’agir auprès des entreprises pour éviter que des femmes perdent leur emploi injustement.

29 mars, de 13 h à 13 h 50 : Can Work Be Safe When Home Isnt? Domestic Violence and the Workplace.

Anglais
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Français

Vicky-Smallman.jpg

Vicky Smallman est directrice nationale, Condition féminine et droits de la personne au Congrès du travail du Canada (CTC), la voix nationale du mouvement syndical qui représente 3,3 millions de travailleurs canadiens. Militante des droits de la femme et de l’égalité depuis longtemps, Vicky Smallman a passé plus de dix ans dans le mouvement du travail universitaire, surtout à travailler auprès du personnel contractuel, avant de se joindre au CTC en 2010. Dans son rôle au CTC, elle dirige une équipe responsable des politiques, des campagnes et de la défense des intérêts sur différents enjeux concernant les droits de la personne affectant les femmes et d’autres groupes en quête d’équité. Vicky Smallman a contribué à l’élaboration d’une enquête novatrice en 2014 sur la violence familiale en milieu de travail, et elle dirige les activités du CTC visant à améliorer la législation et l’aide offerte en milieu de travail aux travailleurs victimes de violence familiale et d’autres formes de violence sexiste et de harcèlement au travail. 

29 mars, de 13 h à 13 h 50 :   Labour’s Domestic Violence at Work Initiative (L’initiative syndicale sur la violence familiale au travail)

Anglais

Français
(indisponible)

Crystal-G.jpgCrystal Giesbrecht est directrice de la recherche et des communications à la Provincial Association of Transition Houses and Services of Saskatchewan (PATHS). Elle est une travailleuse sociale autorisée et détient un baccalauréat (spécialisation en psychologie), une maîtrise en travail social, et un certificat en pratique judiciaire. Elle travaille comme conseillère en violence familiale (occasionnellement) à la Regina Transition House et est professeure associée à la faculté du travail social de l’Université de Regina. Crystal Giesbrech est membre de la Canadian Domestic Homicide Prevention Initiative qui œuvre auprès des populations vulnérables, et aussi du groupe d’experts-conseils de l’Observatoire canadien du fémicide pour la justice et la responsabilisation

29 mars, de 14 h 15 à 15 h 5 : Community-based Experts: How We Can Help to Address Domestic Violence in the Workplace (Spécialistes communautaires : comment pouvons-nous contribuer à la lutte contre la violence familiale au travail)

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Français
(indisponible)

Jo-Anne-Dusel.jpgJo-Anne Dusel a travaillé directement auprès de femmes victimes de violence pendant 20 ans dans une maison d’hébergement. Depuis décembre 2014, elle est directrice générale de PATHS, l’association membre des maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence, les maisons transitoires et les services de counseling en Saskatchewan. Elle était membre du panel d’examen des décès dus à la violence familiale en Saskatchewan en 2016/2017. Jo-Anne Dusel est membre du groupe d’experts-conseils de l’Observatoire canadien du fémicide pour la justice et la responsabilisation. Elle est aussi membre du conseil d’administration d’Hébergement femmes Canada, du réseau canadien d’égalité des genres, et les médias lui demandent souvent son avis sur les cas de violence envers les femmes.

29 mars, de 14 h 15 à 15 h 5 : Community-based Experts: How We Can Help to Address Domestic Violence in the Workplace(Spécialistes communautaires : comment pouvons-nous contribuer à la lutte contre la violence familiale au travail)

Anglais

Français
(indisponible)

Brenda-Grzetic.jpgBrenda Grzetic Au cours des vingt dernières années, Brenda Grzetic travaille dans des contextes universitaires, industriels, communautaires et gouvernementaux. Elle a un diplôme en technologie d’ingénierie électronique et une maîtrise en études de la condition féminine (université Memorial). Elle a reçu plusieurs prix, notamment la médaille d’excellence de l’université Memorial pour ses recherches, et le prix du mérite du Women in Trades and Technology National Network. Elle a reçu une bourse d’études doctorale de trois ans offerte par le Conseil de recherches en sciences humaines (Dalhousie). Durant ces études, elle a étudié les changements dans la main-d’œuvre et la migration de travail. Brenda Grzetic est une militante active des droits des femmes dans tous les domaines professionnels. Elle a écrit un livre intitulé Women Fishes These Days au sujet de l’expérience des femmes sur les navires de pêche à Terre-Neuve-et-Labrador. Elle occupe actuellement le poste d’analyste principale des politiques au St. John’s Status of Women Council, où elle fait des recherches sur les répercussions de la violence familiale dans les milieux de travail à Terre-Neuve-et-Labrador, et met en place des ressources pour aider les victimes de violence et les employeurs.

29 mars, de 14 h 15 à 15 h 5 : Community-based Experts: How We Can Help to Address Domestic Violence in the Workplace(Spécialistes communautaires : comment pouvons-nous contribuer à la lutte contre la violence familiale au travail)

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Français
(indisponible)

Adriana-Berlingieri.jpgAdriana Berlingieri (PhD) est consultante organisationnelle, éducatrice et chercheuse. Elle a axé sa grande carrière sur des domaines d’apprentissage et de développement au travail à l’intérieur même des organismes, dans différents secteurs dans le monde. Son principal sujet d’études et intérêt professionnel est l’intimidation et les autres formes de violence au travail (définies dans un sens large pour y inclure différences formes interreliées). Elle explore ces sujets en adoptant l’approche que les contextes de milieu de travail doivent être étudiés en tant que contextes interreliés à d’autres grands contextes sociaux. Elle travaille aussi sur l’éducation des adultes, les perspectives critiques sur le développement organisationnel et l’apprentissage, la prise en compte des sexes et de la race dans les processus organisationnels, les méthodes de recherche organisationnelle, et l’analyse et l’élaboration de politiques. Elle a obtenu son doctorat à l’Institut des études pédagogiques de l’Ontario de l’université de Toronto, où elle a aussi reçu sa maîtrise. Elle a obtenu son baccalauréat en administration des affaires à l’Université Ryerson. Adriana Berlingieri enseigne à l’école d’études administratives, à l’université de York, et à la faculté de l’éducation de l’université Queen’s.

29 mars, de 14 h 15 à 15 h 5 : Addressing Domestic Violence at Work: Reviewing the Evidence for Best & Promising Practices (Traiter la violence familiale au travail : étudier les preuves pour créer des pratiques efficaces et prometteuses)

Anglais

Français
(indisponible)

Chistine-McCaw.jpgChristine McCaw, maîtrise en administration des affaires et M.Sc., travaille à temps plein comme professeure au collège Humber et enseigne à temps partiel à l’école des études continues de l’université de Toronto. Ses recherches portent sur l’aide au travail offerte aux individus et communautés affectés par la violence d’un conjoint. Elle a publié son premier ouvrage sur le sujet en 2017 https://theconversation.com/its-time-for-companies-to-help-employees-experiencing-domestic-violence-87427 dans le cadre de sa maîtrise en sciences à l’université Reading, au Royaume-Uni. Dans son rôle de gestionnaire de formation nationale à la RBC, elle a transféré une grande part de la formation en classe pour représentants de services financiers vers des modules synchrones et asynchrones entièrement en ligne. Ce projet d’envergure a touché environ 8 000 travailleurs de première ligne. Christine McCaw est membre du comité de, le seul organisme au Canada créé par des survivants pour des survivants dont le mandat est de changer la perception du public et les politiques sur le sujet. 

29 mars, de 14 h 15 à 15 h 5 : Addressing Domestic Violence at Work: Reviewing the Evidence for Best & Promising Practices (Traiter la violence familiale au travail : étudier les preuves pour créer des pratiques efficaces et prometteuses)

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Français
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Katreena-Scott.jpgDr. Katreena Scott est professeure associée au département de psychologie appliquée et du développement humain de l’université de Toronto, et à la Chaire de recherche du Canada sur la prévention et l’intervention en matière de violence familiale . Elle dirige un programme de recherche appliquée visant à réduire la violence dans les relations familiales, avec une spécialisation sur le traitement de la perpétration d’actes de violence par les hommes, les pères. D re Katreena Scott est reconnue à l’échelle mondiale pour son travail d’intervention auprès des pères violents, ainsi qu’à l’échelle nationale pour l’efficacité de ses interventions dans les cas de violence par les conjoints. Elle a écrit plus de 40 articles et chapitres sur le développement des relations violentes, l’efficacité des services auprès des hommes agresseurs, les effets du mauvais traitement et du traumatisme sur les enfants, et sur des politiques empiriques et éthiques pour travailler avec des agresseurs. Le programme Caring Dads qu’elle a créé est actuellement utilisé à beaucoup d’endroits au Canada ainsi qu’aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Australie, en Allemagne et en Suède. Elle a réalisé des recherches pour le Ministère de la Justice du Canada et le Ministère de la procureure générale (MPG) de l’Ontario sur les interventions auprès des agresseurs dans les cas de violence par les conjoints, et elle a donné des conférences pour le MPG, Domestic Violence Crowns et des programmes d’intervention auprès des hommes violents dans la province. En 2015, elle a témoigné en tant que témoin expert dans la commission royale de l’État de Victoria sur la violence familiale. D re Katreena Scott est coenquêtrice dans le réseau DV@Work et collaboratrice dans la Canadian Domestic Homicide Prevention Initiative qui œuvre auprès des populations vulnérables et le Safer Families Centre of Excellence en Australie.

29 mars, de 14 h 15 à 15 h 5 : Addressing Offenders and Managing Risk in the Workplace (Intervention auprès des agresseurs et atténuation des risques en milieu de travail)

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Tracey-Headshot.jpgTracey Marshall est la présidente de Threat Management Matters Inc. Elle compte plus de 20 années d’expérience en matière d’application des lois au sein du Service de police de Toronto et du Service de la police régionale de Durham, plus récemment à titre de détective dans la Sous-section des évaluations de la menace. Elle a obtenu une maîtrise ès arts en éducation des adultes et un baccalauréat ès arts en criminologie. Elle possède une formation spécialisée dans le domaine de l’évaluation de la menace et des risques de violence, après avoir réussi un programme de stage d’un an au sein de la Section des sciences du comportement de la Police provinciale de l’Ontario. Elle a déjà été reconnue comme témoin expert par la Cour de justice de l’Ontario.

Elle est présentement membre de l’Association canadienne des professionnels de l’évaluation de la menace, qui fait partie d’une organisation mondiale de professionnels en la matière.

Tracey est expérimentée dans l’analyse d’enquêtes complexes et qui doivent être menées rapidement, notamment dans les domaines de la violence sexuelle, de la violence conjugale, du harcèlement criminel, de la violence à l’école, des enquêtes internes, de la violence au travail, de la correspondance menaçante et des menaces envers les acteurs du système judiciaire et les fonctionnaires. 

 March 29: 2:15 – 3:05pm: Addressing Offenders and Managing Risk in the Workplace (Intervention auprès des agresseurs et atténuation des risques en milieu de travail)

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